Je suis profondément déçu et préoccupé par la gestion de ma situation par la police et les autorités locales. Le 17 juillet 2024, j'ai été menacé de mort et insulté par un homme pendant un sondage sur la ville d'Elbeuf. Il m'a dit : "Si tu prends la plaque du véhicule, toi et ta famille vous êtes morts." Il a aussi menacé le maire d'Elbeuf.
Malgré la gravité de ces faits, seule une main courante a été enregistrée. Le processus a pris tellement de temps que mon Uber est parti, me forçant à rentrer à pied par les mêmes routes où j'ai été menacé, mettant ainsi ma vie et celle de ma famille en danger.
On m'a dit que je pourrais porter plainte si cela se reproduisait. Mais il est inacceptable d'attendre une nouvelle agression pour agir. Les menaces de mort directes doivent immédiatement permettre de déposer une plainte, peu importe le temps écoulé. Le manque de réactivité et de protection est alarmant. Donc, il faut être agressé à nouveau, et accepté l'agression, pour porter plainte. Point.
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**Je demande instamment et fait parvenir cet incident au Ministère de l'Intérieur afin d'intervenir pour améliorer les procédures de traitement des menaces de mort.**
La sécurité des citoyens ne doit pas être compromise par des délais administratifs et des erreurs des représentants de l'État.